Des réfugiés et des personnes sans domicile sont hébergés dans une annexe du camp de Dachau.
On sait que l’Allemagne fait face à un afflux considérable de réfugiés et qu’une vraie pénurie de logements existe, notamment dans la région munichoise.
Il semble que les personnes qui y résident sont « satisfaites » d’avoir un toit car, sans cet endroit, elles seraient à la rue. La précarité de leur situation dépasse, et on peut le comprendre, le questionnement historique, mémoriel, philosophique.
C’est la théorie du mieux que rien.
Faut-il s’interroger ou n’est-ce que notre luxe de mieux nantis ?